- 04 Août 2021
Consommation de vin et OMS
« Utiliser n’est pas abuser »
Rappelant qu’il existe un large consensus dans la lutte contre la consommation excessive et que, pour les personnes à problèmes, l’abstention d’alcool est privilégiée, Pierre-Louis Teissedre défend une approche scientifique équilibrée des bénéfices et des risques des effets du vin sur la santé.
« Si je le consomme avec modération au cours du repas, le vin apporte plaisir, saveur et émotion. Il est essentiel pour la joie de vivre. Quand on en est privé, c’est une perte ».
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit la santé comme un état complet de bien-être physique, mental et social. Ce n’est pas seulement l’absence de maladie et d’infirmité. Nous devons prendre en compte toutes les dimensions de la santé. Cela inclut le bien-être, dont peu est dit dans les études », souligne l’expert, pour qui « il faut préserver et valoriser la consommation de vin avec modération.
Une consommation modérée de vin contribue à notre bien-être et donc à notre santé ».